Pierre prends son téléphone mobile et trouve une propriété qui semble convenir à ses critères sur le site d’un agent immobilier. Il voit qu’on lui propose une visite des lieux en tout temps, que la visite n’a pas de temps limite et qu’on pouvait y retourner à tout moment. Amusé, Pierre comprend qu’on lui propose une visite virtuelle de la propriété. Il glisse son téléphone dans sa lunette VR et le voilà transporté au 519 de la rivière, en train de se balader dans le corridor qui mène au salon.
On annonçait 2017 comme étant l’année de la réalité virtuelle. Vrai que les avancées dans le domaine sont impressionnantes mais encore plusieurs se demandent comment intégrer ce type de technologie sans tomber dans l’anecdote, le gadget.
D’un point de vue manufacturier, on sent un effort grandissant des grandes marques à innover dans la façon de mettre en marché leurs produits. Les visualisateurs traditionnels sur leurs site sont remplacés par de nouveaux qui intègre réalité augmenté et/ou réalité virtuelle. Par exemple, on peut voir de plus en plus de ces applications qui proposent de voir les meubles qu’on nous propose dans notre salon à travers notre téléphone ou d’une tablette. Évidemment, elles intègrent habituellement un panier d’achat qui vous permet de commander votre nouveau sofa sans surprise. Question de vous offrir une expérience des plus sécurisante on vous enverra des messages retraçant le parcours du pôle d’attraction de votre salon jusqu’à sa destination finale.
Mais c’est peut-être dans les industries touchant le bâtiment, qu’il soit commercial ou résidentiel, public ou à accès restreint, éphémère ou aussi vieux que la ville qu’on voit une valeur réelle pour le grand public d’embrasser la réalité augmentée et virtuelle.
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